Paris vu par la Seine

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Referat

PARIS vu par la SEINE, les monuments les plus importants, leut histoire et leur attrait touristique.

Ce qui a déterminé l'implantation des premiers hommes à Paris, c'est surtout la présence d'un fleuve comme la Seine. La Seine est un fleuve qui est navigable toute l'année. Elle forme avec ses affluents ( l'Aube, l'Yonne, et surtout la Marne et l'Oise ) un véritable réseau hydrographique qui a permis aux premiers habitants d'aller et venir sur un grand périmètre. En 1991, 5 pirogues datées entre -4200 et -3400 av. J.-C ont aussi été découvertes à Bercy. Grâce à ce réseau, Paris est devenu un carrefour fluvial où des échanges commerciaux se sont faits très vite.

Au milieu de la Seine, l'île de la Cité a constitué dès l'origine un refuge idéal : un site défensif s'y est très tôt développé. Avec les rives proches de chaque côté de la Seine, c'est le cœur historique de Paris. La Cité n'est pas la seule île de Paris, mais c'est la plus grande, la plus ferme, et elle se situe là où le franchissement du fleuve est le plus aisé. L'île Saint-Louis, juste à côté, est née du rassemblement de deux îles, au 16ème siècle.

La Seine a façonné le paysage, l’économie et l’histoire de Paris. Protectrice et nourricière, elle a offert à la ville une voie de communications commode autour de laquelle s’est organisé longtemps une grande part de son activité. Mais le fleuve a connu des caprices redoutables; les efforts ont été nombreux et de longue haleine pour enfin le dompter. Aujourd’hui la Seine est devenue l’un des attraits touristiques majeurs de la ville la plus visitée au monde, et un lieu de promenade pour les Parisiens.

Les vieux métiers de la Seine:
Deux pirogues vielles de six mille ans, découvertes dans les fouilles, témoignent d’un mode de vie déjà lié à la pêche. À l’époque gallo-romaine, les nautes parisiens, maîtres de la batellerie de la Seine, formaient une sorte de patriciat qui a doté la ville du monuments publics. Cette richesse du commerce fluvial s’est confirmé au Moyen Age : la corporation de marchands de l’eau a été un des noyaux de l’élite urbaine; ses représentants, avec en tête le prévôt de marchands, sont aux origines des institutions municipales. Emblème de cette corporation, le bateau orne toujours les armoiries de la ville, accompagnées de la célèbre devise : Fluctuat nec mergitur, « il vogue mais ne sombre pas ». Paris dut longtemps a la Seine la plus grande parte de son approvisionnement. Source de prospérité pour les marchands, cette intense trafic donnait du travail à une foule de commis, des manœuvres, de petits bateliers et de revendeurs. Plus ou moins spécialisés, de nombreux ports étaient établis sur les berges. Le porte en Grève, a la hauteur de l’Hôtel de Ville, était le plus active de tous. Quant a l’île Louviers, avant son rattachement à la rive, elle servait d’entrepôt de bois.

Les canaux de Paris
Par ailleurs, le fleuve, trop étroit et peu profond, n’offrait plus, dans Paris, de bonnes conditions de navigabilité. Établi au début du XIXe siècle, un système de trois canaux a relié le cours de la Seine en amont de l’île Saint-Louis a son cours en aval. Ces canaux, Saint-Martin, Saint-Denis et de l’Ourcq, ont des parcours en ville de respectivement 4,5km, environ 1 km et un peu plus de 2 km.

L’activité portuaire a été améliorée : agrandissement de la Halle aux vins sur le quai Saint- Bernard, construction de grands entrepôts, dits Greniers d’abondance, près de l’actuel bassin de l’Arsenal. Mais le trafic a été ensuite réorienté vers le port de la Villette. Au cours de XXe siècle, la concurrence du chemin de fer et du transport routier a marqué inexorablement le déclin de l’économie fluviale.

Des coches d’eau aux bateaux- mouches
Au XVIIIe siècle existait sur la Seine un service de « coches d’eau », tractés par des chevaux. En 1825, un bateau à vapeur allait trois fois par jour de Paris à Saint- Cloud. Mais en 1867 un tournant décisif a eu lieu quand la ville de Paris a confié au Lyonnais Plasson l’aménagement d’une desserte nautique de la ville. La Compagnie des bateaux- omnibus de Paris était née : ses « bateaux- mouches » proposaient la traversée de Paris et un service de banlieue jusqu'à Charenton et Suresnes . En 1886, elle a fusionné avec deux autres compagnies; dotée de cent cinq bateaux, elle dessert alors quarante-sept escales sur 40 km de ligne et transporte vingt-cinq millions de voyageurs par an. Trop fortement concurrencée par le métro et la route, elle a du cesser toute activité en 1934.

Aujourd’hui la fleuve est surtout dévolu au tourisme : plusieurs compagnies proposent des circuits touristiques. Les cinq millions de passagers transportés annuellement font du Port autonome de Paris le premier port touristique mondiale, mais, depuis 1997, une compagnie a renoué avec le principe du « bateau-bus ».


Des maisons sur l’eau
Des amoureux du fleuve ont choisi de vivre sur des bateaux, le plus souvent des péniches. Ces embarcations évoquent immanquablement, a qui les découvre le long des berges de la Seine, une vie de bohème. La convivialité y est de mise : si une péniche est amarré à l’extérieur et qu’une autre, à l’intérieur, veut partir, les vingt minutes de manœuvres nécessaires à l’échange des places créent des complicités. Mais le quotidien des cent cinquante maisons flottantes parisiennes n’est pas uniquement celui-là. La vie à quai est pleine de bruits et de remous, et les lieux de stationnement autorisés, moyennant l’acquittement d’un droit à la Ville, ne sont pas à l’abri du défilé nocturne des navettes touristiques. C’est ce qui pousse ces bateaux à s’installer au calme, sur le bassin de l’Arsenal. 


La Seine des ARTS
Mais la Seine n’est pas seulement un élément du paysage urbaine où se déroulent des scènes de la vie parisienne. Chanté par les poètes ou les chansonniers, célèbré par les écrivains et les peintres, le fleuve a depuis toujours été une source d’inspiration pour les artistes, depuis les magnifiques ont enluminé des « Très Riches Heures du duc de Berry » (XVe siècle), où il sert de décor, jusqu'à l’empaquetage du Pont- Neuf par le plasticien Christo, en 1985.

  • La Seine peinte

Le peintre anglais William Turner (1775- 1851) est venu le premier au-devant du fleuve. Sa vie durant, il a réalise une sorte d’inventaire géographique de tous se contours et détours, à Paris et ailleurs. Après lui, les impressionnistes (Renoir, Sisley, Caillebotte...) ont immortalisé le fleuve en une décennie (1867- 1877); la toile de Monet, qui a donné son nom à ce mouvement (Impression soleil levant, 1873) , une vue de la Seine. C’est aussi sur ses rives, à Chatou, que Derain et Vlaminck ont inventé le fauvisme.

  • La Seine lyrique

C’est dans une mouvance impressionniste que Giacomo Puccini met la Seine en musique, dans son opéra en un acte de 1916, Il Tabarro (La Houppelande). La Seine et ses lourdes brumes servent de cadre à l’action; mais il importe surtout à Puccini de saisir ce que le fleuve signifie pour les humains qu’il porte. Michele, batelier, et Giorgetta forment un couple déchiré par la vie qui leur a ôté leur bébé. La résolution de leur tourment est violente et fatale pour le débardeur Luigi qui aime Giorgetta. Michele le tue et le dissimule sous son ample et long manteau, qui est comme le symbole du fleuve : « Nous portons tous une houppelande où l’on cache quelquefois une joie, et quelquefois un chagrin! ».

  • La Seine filmée

L’Atalante, de Jean Vigo (1934), met en scène la vie pénible et misérable des bateliers. Jean (Jean Dasté) , un marinier, épouse Juliette (Dita Parlo), une « terrienne ». Il l’aime et l’entraîne sur sa péniche, l’Atalante. Assiste du père Jules (Michel Simon), excentrique bougon, Jean navigue lentement sur la Seine et les canaux du Nord de la France. Alors, vient un jour où, fatiguée d’une vie monotone, Juliette est tentée par la ville. À eux deux, les hommes de l’Atalante la ramèneront d’un rêve qui l’a désespérée. (livre : larousse de paris, larousse, paris, 2001)

En faisant une voyage dans une bateau-mouche sur la Seine, on découvre la véritable atmosphère de Paris avec ses magnifiques monuments qui font du cette ville une de les plus commentées sur la terre. On peut admirer la grandeur de la Bibliothèque Nationale de France, l’Hôtel de Ville, Notre Dame, la Conciergerie, l’ Institut de France, le Louvre, le Musée d’Orsay, la Place de la Concorde, le Grand Palais, l’Hôtel des Invalides, la Tour Eiffel, le Trocadéro, la Statue de la Liberté et bien d’autres monuments historiques qui valent la peine de les visiter.

La Bibliothèque Nationale de France : Le 14 juillet 1988, le Président de la République annonce "la construction et l'aménagement de l'une ou de la plus grande et la plus moderne bibliothèque du monde....(qui) devra couvrir tous les champs de la connaissance, être à la disposition de tous, utiliser les technologies les plus modernes de transmission de données, pouvoir être consultée à distance et entrer en relation avec d'autres bibliothèques européennes". La déclaration surprend le public et les professionnels. De fait, elle lance un nouveau "grand projet

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